Ryszard Jastrzêbski EWE, Monika Filipek Instytut £¹czenia Metali [Instytut de l’Assemblage des Métaux]
Dr in¿. Mieczys³aw Cenin, Uniwersytet Wroc³awski [Université de Wroc³aw]
Jerzy KniaŸ, Instalex S³upsk
Teresa Filipek Stocznia Pólnocna, Gdañsk
Mariusz Jaworski EWT, instruktor Technokonstrzêbski Co, Cracovie

 

Les principes fondamentaux de l’apprentissage du penser inconscient

à l'exemple de la formation des ingénieurs ILM et des soudeurs TKS par les méthodes polonaises

 

 

I.                    Introduction
La fermeture des services spécialisés en soudage lors de la restructuration forcée par l’Union Européenne, la restructuration des entreprises spécialisés dans le service du marché global de l’empire russe et dans la construction de l’industrie allemande (le chômage a dimminué dix fois) ont exige l’assemblage et la systématisation des savoirs réunis par les générations anterieures et très bien surveillés jusqu’à présent. Il s’est avéré que les savoirs concernant la construction des ponts, des bateaux et des raffineries se trouvaient à differents postes : du simple soudeur au directeur, des maitres aux chefs d’équipe en passant par les  technologues et en finissant par le soudeur. Ce savoir était transmis au travers  d’instructions, de stages et de la carrière professionnelle permanente. Beaucoup de spécialistes profitent de la pensée inconsciente plus souvent que de la pensée consciente. Dans la situation donnée, ils savent comment agir et quelle décision il leur faut prendre, mais ne sont pas capables de dire d’où il le savent. La pensée inconsciente provoque la transformation d’un grand nombre d’informations à  une vitesse si elevée que le contrôle de l’algorythme de la transformation des informations est impossible. Jusqu’à aujourd’hui dans les sciences polytechniques on ne pouvait pas rencontrer de méthodes scientifiques permettant de resoudre un problème posé de cette manière. C’est pourquoi il fallait profiter d’autres méthodes scientifiques, employées dans les domaines qui à priori n’ont rien en commun avec le soudage, comme par exemple la psychologie, la médecine, biocybernétique.
On a profité des expériences effectuées lors de l’adaptation des méthodes de la psychologie cognitive et biologique pour la création de la méthode de l’instruction des soudeurs TKS rendant possible  l’instruction inconsciente du soudage précis. Cette méthode à travers la systématisation de méthodes d’instruction déjà connues a permis de diviser le temps d’instruction par trois et d’obtenir le fait de répétition du soudage manuel.
L’adhésion de la Pologne à l’OTAN a rendu possible le partage de ces savoirs, tenu secrets pendant 25 ans et employés dans l’aviation, le savoir sur les méthodes inconventionnelles touchant l’introduction dans le cerveau de l’information visuelle par le biais de récepteurs introduits sous la peau.

II.                  Le penser inconscient utilisé dans l’instruction des ingénieurs par la méthode TKS comme un élément signifiant en résolution des problèmes technologiques du montage et du soudage.
Instytut £¹czenia Metali [Institut de l’Assemblage des Méteaux] a effectué des recherches afin d’arracher de l’inconscient des détails de la tranformation des informations par les praticiens, des ingénieurs du soudage; et afin de systématiser ce savoir de manière a permettre, grace à dix axiomes, et par les méthodes des preuves mathématiques, d’expliquer tous les cas pratiques encore inexplicables ou ceux qui étaient en opposition avec la theorie. Puis, on en a profité du cours des bases du soudage.

L’entreprise Technolkonstrzêbski qui a préparé ce cours, afin de bien protéger « son » savoir,  l’a placé dans l’inconscient des élèves. Un gradué savait très bien profiter du savoir acquis et il savait quelle décision prendre dans une situation donnée, mais en outre il n’était pas capable de répéter le cours auquel il avait pris part. C’était un exemple classique de cours de pensée inconsciente. Pour dispenser les cours on a invité de grands soudeurs, en les priant de présenter toutes les difficultés pratiques qu’ils rencontraient dans leur travail de soudeurs et les moyens à utiliser pour les résoudre. Pour  cette présentation on leur a donné 3 heures. Les cours étaient organisés de la manière suivante : un spécialiste attendait la fin de la présentation du second spécialiste, puis il pouvait lui poser des questions. Il s’est avéré que parmi les participants à ce cours étaient aussi des spécialistes. De plus, les cours étaient suivis par les employés de l’Institut de l’Assemblage des Méteaux et par un professeur de l’école polytechnique. Parallèlement on a organisé des cours pratiques, dirigés par les instructeurs de différents centres. Ces cours étaient aussi suivis par nos instructeurs qui étaient présents à chaque fois.

On a invité, comme les examinateurs (à la fin du cours), quelques ingénieurs et un professeur du soudage. La majorité de questions pendant l’examen était posées par les praticiens, et un professeur doué pour les mathématiques a noté tous les problèmes et toutes les solutions pratiques. Ensuite, l’Institut de l’Assemblage des Métaux a demandé au professeur de diriger un cours de 3 heures concernant le matériel qui, d’habitude à l’école polytechnique dure pendant 30 heures. On a choisi des professeurs  accomplissant des fonctions dirigeantes à l’université, c’est à dire ceux qui étaient capables de penser inconsciemment. En se préparant au cours, les professeurs systématisaient le savoir pratique déjà rencontré (pendant l’examen). Leurs cours étaient s’amélioraient continuellement s’approchaient de plus en plus de la pratique. Les employés de l‘Institut d l’Assemblage des Méteaux doués pour les sciences exactes suivaient tous les cours et travaillaient sur la construction des 10 axiomes précités.

Sur la base de dix axiomes, on a élaboré le cours de la formation du penser inconscient pour les ingénieurs et pour les humanistes. Pendant ce cours on a répété ces règles (axiomes) de différentes manières,  indépendemment des professeurs invités.

Pour enseigner aux participants la pensée inconsciente, il était nécessaire de les « décongeler »[1]. On l’a réalisé ainsi : une offre était construite telle manière que les spécialistes pensaient qu’il allaient à un rendez-vous et non pasà la formation. Lors du premier cours, le professeur a présenté les problèmes connus, mais d’une manière différente de la manière traditionelle et en-meme temps convenant à la  pensée inconsciente. Beaucoup furent soudainement convaincus de la simplicité du problème posé et étaient surpris de ne pas avoir trouvé eux-mêmes la solution.

On a distribué au groupe 100 questions –réponses, en expliquant que ce matériel serait exigé au cours d’un examen. Certaines personnes occupant de hauts postes ne pouvaient se permettre d’échouer à cet examen et elles commencaient à paniquer. Ainsi on voyait « un groupe de grand stress », qui était si étroitement lié, qu’après quelques années les membres de ce groupe restaient au contact. Dans un groupe comme celui-ci, pendant 4 jours, on a fait des cours modifiés du cycle précédent de la formation, de’une facon de mettre en lumière la logique de dix règles travaillées et plusieurs fois répétées à des exemples différents, puisés dans le grand nombre des cours des ingénieurs-praticiens.
                Le reste des invités été constitué de praticiens dans des domaines où travaillaient des ingénieurs formés. Dans un groupe bien soudé à cause du stress, des praticiens ont répondu aux employés de l’Institut de l’Assemblage des Méteaux, aux questions, auquelles directement pendant la conversation ils ne voulaient pas ou ne pouvaient pas répondre. Un tel groupe qui surprenait par son niveau du savoir devait logiquement bien travailler pour pouvoir répondre aux exigences du groupe.

Des participants en trouvant des solutions aux problèmes posés par des praticiens apprenaient que ces solutions, qui ont fourni du succès aux invités, sont comparables celles données par eux-memes sur la bases du savoir déjà acquis. En observant le niveau croissant des examens qui cloturent Le Cour de coordination de controle des traveaux de soudage nous avons remarqué le niveaux du cours ne dépend pas des invité, mais de 40 heures de cours faites par nos emplyés et du controle de l’hierarchie des énoncés et des sujets recommandé à l’invité. Nous avons introduit aussi des cours singuliers de nos employés afin de compléter des sujets non touchés par des invités de l’extérieur.

Des cours théoriques, ainsi que des cours pratiques ont répété des manières différentes la logique de dix règles du soudage afin de les mettre au inconscient et afin de faciliter la solution de problèmes pratiques de l’industrie.

Des personnes venant d’autres villes, arrachées de leur environnement, avaient plus de succès en apprenant du nouveaux matériel que des personnes habitantes au lieu du cours. C’était à cause des discussions sur les sujets spécialistes, ménées par les personnes venant du loin, des discussions qui aidaient à égaliser le niveau du savoir. Du niveau de notre cours témoigne le fait qu’après avoir fini notre cours on ne remarque pas de différence entre des techniciens et des ingénieurs, car pour ces deux groupes le moyen de présenter du savoir de soudage était nouveau.

Des personnes faisant leurs thèses de doctorats sur le soudage et participant aux formations, mais n’étudiant pas beaucoup avaient de faibles résultats pendant l’examen, bien qu’ils soyent favorisés par le professeurs, le chef de la commision d’examen.

Des solutions appliquées sont connue dans les sciences sociales depuis longtemps, ce qui est nouveau, c’est l’assemblage dans un lieu des méthodes emplyées pour résoudre des problèmes divers et c’est l’application pratique pour résoudre des problèmes dans la technologie du soudage.

Au-dessous, en s’appuyant du savoir principal des sciences universitaires, nous allons essayer d’expliquer le sens des faits entrepris  pour travailler et appliquer de la méthode de l’Institut de l’Assemblage des Méteaux, qui a pour but l’accélération de la formation pratique des ingénieurs et du raccourcissement du temps nécessaire de la pratique professionelle, rendant possible le succès dans l’industrie.

III.              Des modèles de transformer des informations par l’homme.

On sait depuis longtemps que les spécialistes de haute qualité profitent beaucoup du penser inconscient, qui est un outil très fort permettant de transformer très vite le grand nombre des informations. C’est pourquoi des hommes programmant des machines industrielles qui ne peuvent pas profiter des algorithmes de la transformation inconsciente ne sont pas capables de créer la machine plus intelligente qu’un soudeur bien formé.

Dans l’Institut de l’Assemblage des Méteaux on a essayé d’adapter le savoir sur le penser inconscient pour assembler le savoir pratique et pour apprendre des soudeurs à faire des soudures précises et de haute qualité. Les derniers entreprises en collaboration avec l’Académie de mines à Cracovie ont pour but d’appliquer ces résultats pour programmer la machine intelligente d’industrie, pilotée par l’analyse de l’image et aussi d’effectuer un tournant à l’informatique afin de créer le système meilleur que les réseaux neuronales, aujourd’hui appliquées.

Des informations reçues des sens : de la vue, de l’ouïe et du toucher kinésthésique (le mécanisme de l’équilibre, situé dans l’oreille interne désignant la position des extrémités à la base de la tension des muscles) d’introduction sont automatiquement transformées au niveau inconscient ou elles peuvent être dirigées à la transformation logique inconsciente selon la logique auparavent apprise, ou bien dirigées à la transformation consciente.

 

Dessin.1 Niveaux de transformation des informations.

 

            Le niveau inconscient de la transformation automatique des informations change l’image affouillée, résultant de l’optique, du bord du bain de fusion à l’image nette. Cela permet de réduire la mémoire nécessaire à la transformation suivante de l’information visuelle. Le niveau inconscient transforme si rapidement des informations que l’homme n’est pas capable d’enregistrer des algorithmes de transformation et ce qui est à enregistrer n’est que le résultat de cette transformation.

Dans le cas du soudeur, les muscles sont pilotés justement par ce niveau, sans nécessité d’ingérance de la pensée inconsciente. Le passage par la pensée consciente ralentit le processus de transformation qui peut provoquer les défauts de soudage. La méthode TKS élaborée par l’Institut de l’Assemblage des Méteaux rend possible l’apprentissage par la pensée inconsciente pour les mathématiciens, ainsi que pour les humanistes.

Les mathématiciens apprennent en répétant la logique des algorithmes de la pensée consciente au niveau conscient, les humanistes de leur côté aprennent en observant la logique des événements physiques qui ont lieu au cours des exercices du soudage. Pour cette méthode on a profité de la synesthésie, c’est- à- dire du passage des stimulus reçus du sens du toucher kinésthésique sur le sens de la vue et de l’ouïe pendant la conduite des mains du soudeur par le moniteur.

Les niveaux 1 et 2 profitent des mêmes réservoires de la mémoire ainsi le développement excessif du niveau 1 se fait au détriment du niveau 2.

Jusqu’à certain moment, cela n’a pas d’influence sur l’effectivité de la pensée, cependant le dépassement de la charge de la mémoire exige une sélection permettant une pensée effective.

Les deux niveaux de la régulation ne suffisent pas à expliquer le processus du comportement conscient opportun qui n’est propre qu’aux hommes.

Seulement le troisième niveau, le niveau de la régulation d’orientation et de programmation (O-P), qui s’appuie sur les processus de transformation des informations et de la pensée, permet de créer des notions, du savoir, des avis, et des opinions, des images du monde et de soi-même, des visions, des projets et des programmes d’action, etc., il explique le plus profondemment les mécanismes de la régulation du comportement de l’ homme.

Ce niveau a des capacités de transformations lentes et limitées.

C’est pourquoi le développement des niveaux 1 et 2 et la sélection logique des informations à ces niveaux permettant au niveau 3 de transformer seulement le nombre nécessaire des informations déjà changées, sont si importants dans l’essor de l’intelligence humaine.

Bien sur, il est possible de piloter de telle manière qu’à ce niveau on puisse diriger des informations provenant directement des récepteurs des modalités particulières (p.ex. en sentant de grandes émotions).

Diriger pour transformer un trop grand nombre d’informations donne une impression d’hébétude.

Des personnes remarquablement douées se caractérisent par leur grande capacité de sélection des informations.

 

IV.              Moyens d’analyse des stimulus.

En reconnaissant des images et en coordonnant des mouvements avec l’observation on peut distinguer les modèles informatiques suivantes :

-                                                                           la décompression des images (les mathématiciens)

-                                                                           les réseaux neuronales (les humanistes)

-                                                                           la comparaison avec le prototype (les meilleurs spécialistes, les mathématiciens, les humanistes)

Dans un article publié par « Soudage Techniques Connexes », nous avons donné des références psychologiques de ces trois moyens de transformation des information par l’homme.

 

Ø       Le premier moyen, appliqué par l’ordinateur pour distinguer les lettres, est aussi exploité par les mathématiciens pour analyser au niveau conscient. Il consiste à découper l’image en petits éléments et puis à les analyser.

 

Ø       Le deuxième moyen, connu en informatique comme les réseaux neuronales, en général est appliqué par les humanistes pour apprendre le penser inconscient au cours de l’observation du processus de souder ou de parler.

 

Ø       Le troisième, le plus rapide, consiste à comparer la réalité environnante avec les prototypes connus ou avec le déroulement des évenements connus. Ce moyen donne de grandes espérances en informatique, il a permis d’accélerer les formations par la méthode TKS.

 

Le mouvement de la main du soudeur est le résultat d’une pensée précise au niveau inconscient. Puisqu’une  pensée rapide exige le profit des prototypes et l’homme n’a pas pu en hériter car fondre le métal n’est pas l’activité naturelle de l’homme, il profite des prototypes de la vie quitidienne : de l’eau bouillante, d’une flaque d’eau pendant la pluie ou d’un courant d’eau coulant du haut en bas.

 

Des personnes douées pour les sciences humaines peuvent apprendre à plus grand degré pendant les cours pratiques, pendant l’observation de traveaux pratiques.

Des personnes douées pour les sciences exactes aprennent par répétition des activités au niveau conscient p.ex. par l’apprentissage de la grammaire, des mathématiques et leurs applications en physique.

Grâce à ces créations le comportement de l’homme peut devenir opportun.

Tous ces processus dans l’organisme se produisent parallèlement et sont mutuellement joints (c.f flèches sur le dessin).

               

 

V.                La méthodique des recherches.

 

Dans le but de suivre la transformation inconsciente des informations, on a profité de l’événement de la synesthésie et de l’analogie entre le soudage et le fait de parler :

 

Ø       un soudeur au niveau conscient pense quelle soudure il doit faire et il pense ce qu’il veut dire,

Ø       au niveau inconscient un soudeur choisit des mouvements et des mots, en prenant en considération leurs significations autres, convenables pour décrire  le penser.

Ø       Au niveau automatique un soudeur pilote des muscles des mains et des muscles pilotant l’articulation des sons.

 

C’est pourquoi on a entrepris l’analyse du vocabulaire du soudage dans les langues différentes. Cette analyse a montré que chaque soudeur voit la bain de fusion avec des bord bien nets. Les modèles étaient récréés avec l’aide des plasticiens, par des ingénieurs, qui ont appris à souder.

Un autre moyen d’analyse de la transformation inconsciente des informations par un soudeur, c’est un fait que des personnes remarquablement douées pour les mathématiques ne se convertissent jamis absolument à la transformation inconsciente.

Il s’est avéré qu’il existe la possibilité d’enseigner le soudage à des ingémieurs et d’arracher de leur inconscient la logique de transformation des informations par un soudeur pilotant un processus de fonte du métal.

Dans le cas des ingénieurs, il fallait apprendre la pratique aux personnes douées pour les sciences exactes, qui préparent les règles au niveau conscient.

Une autre méthode encore était de poser aux praticiens des problèmes et analyser les réponses reçues. Pour assembler des données, il fallait utiliser le savoir des physiciens, les connaissances en physique des professeurs du soudage étant insuffisante pour résoudre ces problèmes.